Notre commentaire suite à l'article paru sur le Nouvel économiste :
Merci à Jessica Berthereau et le Nouvel économiste pour cet article.
Il donne une assez bonne vision des différentes approches des acteurs identifiés, avec parfois des conceptions radicalement différentes...
Par exemple, beaucoup d’acteurs labellisés ATR ne pourraient déjà pas franchir le seuil d’acceptation pour l’entrée des voyagistes chez V.V.E, comme de nombreux membres d’ATD d’ailleurs.
Une charte aux critères stricts sert de filtre.
Un label n’a de sens que si l’ensemble des critères sont communiqués avec des conditions quantifiables pour son obtention.
V.V.E vient de lancer un double système d’évaluations de terrain, avec des grilles qui attribuent des points selon les engagements réels de la structure soumise aux observations de terrain de nos experts.
C’est ce qui manquait au tourisme responsable pour évaluer la sincérité des engagements annoncés, notamment par certains labels.
Atalante labellisé ? On se demande bien sur quels critères puisque la production des voyages est celle de Huwans, c’est-à-dire que l’agence ne créée plus la plupart de ses itinéraires !
Chez V.V.E, nous ne sous-traitons pas nos voyages.
La plupart du temps, nous les co-construisons avec nos partenaires locaux, ou bien nous les produisons intégralement de manière exclusive.